“Grâce au Fonds, je peux faire tout un tas d’activités”
La vie de Grégory a basculé le 7 juillet 2006. En plein virage, un camion casse son moteur dans un tunnel sous l’A86. Au volant de son deux-roues, Grégory dérape sur la flaque d’huile, son pied est arraché… Anne-Valérie Thob, inspectrice au Fonds de Garantie des Victimes, l’accompagne depuis lors dans le renouvellement régulier de ses prothèses. 6 ans après l’accident, il a reconstruit sa vie au Conquet. Découvrez son histoire. …
“Deux provisions qui m’ont énormément aidé”
Victime d’un conducteur non assuré. Gaëtan se souviendra toute sa vie de ce 18 juillet 2018. Un chauffard, en moto, le fauche sur le trottoir… générant des blessures lourdes de conséquences. Plusieurs mois de rééducation l’empêcheront d’exercer son métier d’entrepreneur en restauration. Le Fonds lui a permis de surmonter ces épreuves. …
“Depuis que vous êtes là […], tout va mieux.”
Aca et Ljilja ont été victimes de l’attentat du stade de France le 13 novembre 2015. Ils sont accompagnés, depuis le drame, par Laure Aveline, inspectrice au Fonds de Garantie des Victimes, en lien avec leur avocat, Lalla Boustani. Découvrez leur histoire. …
“Je ne me suis pratiquement occupé de rien”
Victime d’un préjudice corporel lourd. C’était le 21 avril 2011. Philippe se souviendra toute sa vie de cette date.Un chauffard, après avoir volé une moto, l’a fauché et lui a ôté l’usage de la jambe gauche et lui a cassé l’épaule. 7 années… C’est le temps qu’il a fallu à Philippe pour se rétablir complètement. Malgré son interpellation, le responsable n’était pas solvable et n’avait ni papier, ni domicile. Philippe nous raconte que sans le Fonds de Garantie des Victimes, il ne “sait pas où il en serait” aujourd’hui. Le Fonds lui a assuré un accompagnement rapide et individualisé durant …
« J’ai pu continuer à me faire suivre »
Victime d’un acte de terrorisme. Patricia a vécu les attentats du 13 novembre 2015. Présente au Bataclan, au premier rang, elle a connu la panique dans la foule et a vu « des hommes abattre des gens ». Si, par chance, les dommages n’ont pas été physiques pour elle, cette tragédie l’a dévastée psychologiquement. Suite à ce drame, Patricia n’a pas pu travailler durant près d’une année entière, puis a repris progressivement son activité. En revanche, le traumatisme reste présent et peut refaire surface, notamment lorsqu’elle assiste à de grands rassemblements. Le Fonds lui a permis d’être indemnisée à la hauteur de ses séquelles psychiques ainsi que des conséquences …